Aller la rivière · Luz Volckmann

11,00 €

Ce qu’il y a dans vos mots
Ce qu’il y a dans vos yeux
Je ne sais pas
Puisque ni le regard ni la langue
N’ont été faits pour nous

Je sais
Que l’on finit combustible
Je sais
Que l’on finit vase

​À l’instar d’une rivière, les mots se déversent : en apparence paisibles, ils remuent le fond, retournent la vase, explorent les profondeurs. En faisant remonter à la surface la transphobie et l’homophobie, les violences institutionnelles et policières, l’enfermement et la mort, le poème s’efforce de les combattre. Avec l’urgence de dire, il y a celle de faire front et d’inventer une langue de la riposte. C’est aussi une langue à contre-courant, écho de ce que traversent celles et ceux qui, dans un instant de lutte et de solidarité, se rejoignent face aux normes et aux injonctions. Par le vers ou la prose, ce recueil devient le lieu d’une réappropriation puissante du verbe et du monde.

Illustration de couverture : Koji, Dessin pour ma soeur, 2020.

Revue de presse :

Jeanne magazine #93 : “Pour une poétique trans. Notes sur les œuvres de Luz Volckmann” par Adèle Cassigneul

80 pages

11 x 17 cm

ISBN : 978-2-9567735-6-6

Paru le 14/05/2021

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Ce qu’il y a dans vos mots
Ce qu’il y a dans vos yeux
Je ne sais pas
Puisque ni le regard ni la langue
N’ont été faits pour nous

Je sais
Que l’on finit combustible
Je sais
Que l’on finit vase

​À l’instar d’une rivière, les mots se déversent : en apparence paisibles, ils remuent le fond, retournent la vase, explorent les profondeurs. En faisant remonter à la surface la transphobie et l’homophobie, les violences institutionnelles et policières, l’enfermement et la mort, le poème s’efforce de les combattre. Avec l’urgence de dire, il y a celle de faire front et d’inventer une langue de la riposte. C’est aussi une langue à contre-courant, écho de ce que traversent celles et ceux qui, dans un instant de lutte et de solidarité, se rejoignent face aux normes et aux injonctions. Par le vers ou la prose, ce recueil devient le lieu d’une réappropriation puissante du verbe et du monde.

Illustration de couverture : Koji, Dessin pour ma soeur, 2020.

Revue de presse :

Jeanne magazine #93 : “Pour une poétique trans. Notes sur les œuvres de Luz Volckmann” par Adèle Cassigneul

80 pages

11 x 17 cm

ISBN : 978-2-9567735-6-6

Paru le 14/05/2021

Ce qu’il y a dans vos mots
Ce qu’il y a dans vos yeux
Je ne sais pas
Puisque ni le regard ni la langue
N’ont été faits pour nous

Je sais
Que l’on finit combustible
Je sais
Que l’on finit vase

​À l’instar d’une rivière, les mots se déversent : en apparence paisibles, ils remuent le fond, retournent la vase, explorent les profondeurs. En faisant remonter à la surface la transphobie et l’homophobie, les violences institutionnelles et policières, l’enfermement et la mort, le poème s’efforce de les combattre. Avec l’urgence de dire, il y a celle de faire front et d’inventer une langue de la riposte. C’est aussi une langue à contre-courant, écho de ce que traversent celles et ceux qui, dans un instant de lutte et de solidarité, se rejoignent face aux normes et aux injonctions. Par le vers ou la prose, ce recueil devient le lieu d’une réappropriation puissante du verbe et du monde.

Illustration de couverture : Koji, Dessin pour ma soeur, 2020.

Revue de presse :

Jeanne magazine #93 : “Pour une poétique trans. Notes sur les œuvres de Luz Volckmann” par Adèle Cassigneul

80 pages

11 x 17 cm

ISBN : 978-2-9567735-6-6

Paru le 14/05/2021